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Historique – LA SPA DE LA GUADELOUPE
BP 329 Abymes Principale 97139 Les Abymes
0590 90 12 30
contact@spa-gp.org

Historique

Historique des actions de la S P A de la Guadeloupe

– 1986 des campagnes d’empoisonnement étaient organisées par La DASS et la DSV : à minuit des camionnettes partaient des mairies avec des boulettes de strychnine. Notre constat d’huissier a démontré qu’elles étaient déposées près des bennes à ordures à près de 40 mètres des habitations. Des menaces de procès et un battage médiatique ont fait cesser net cela suivi d’un accord avec le Directeur de la DSV pour l’arrêt définitif de ces campagnes d’empoisonnement.

– De 1986 à 1987 la SPA de la Guadeloupe a organisé un concours de dessin avec les lycées de Guadeloupe qui avait eu un grand succès : « Dessine ton animal favori », de nombreux cadeaux ont été distribués aux enfants.

– 1988/ Premier projet de refuge de la SPA de la Guadeloupe ; contacts permanents avec le Conseil Régional, Général, les mairies, l’association des maires pour l’obtention d’un terrain et les financements.

– Pendant les années 90 la SPA de la Guadeloupe tient régulièrement des stands dans les galeries marchandes, devant les grandes surfaces, aux marchés aux puces on fabrique des bouquets de fleurs sèches, des objets de décoration. Sensibilisation du grand public pour la création d’un refuge et pour avoir une vraie politique de protection animale en Guadeloupe, en particulier la protection des espèces endémiques des petites Antilles : comme le chien créole, l’iguane, les ratons laveurs, les oiseaux exterminés par les chasseurs, les tortues marines etc…

– 1995 : Une association AGIRE dont la Présidente est un magistrat obtient des fonds pour exterminer les chiens errants : des détenus en voie de réinsertion sillonnent la nuit les communes, lasso et fusil hypodermiques à la main. La SPA de la Guadeloupe porte plainte par 2 fois auprès du TGI. Nous avons un constat d’huissier : à la décharge de Baillif qui surplombe la mer 3000 chiens pourrissent à ventre ouvert, ce sont les chiens ramassés par AGIRE.

Ma disgrâce auprès des Tribunaux commence on me menace de me retirer mon titre d’expert près la Cour d’Appel.

Nous arrêtons une seconde fois ces campagnes d’euthanasie massive.

Nous avons envoyé films et constats à toutes les grandes associations métropolitaines.et RFO télé a fait un reportage.

– 1996 : La Fondation Brigitte Bardot nous soutient, elle propose des campagnes de stérilisation gratuites si les actions d’AGIRE prennent fin, publication d’une carte avec la photo d’un chien famélique pour boycotter le tourisme en Guadeloupe.

– Jusqu’en 2001 nous faisons pleuvoir courrier pétitions dossiers envoyés aux Ministères, intervention de 30 Millions d’Amis auprès du Ministre de l’Agriculture. Pour calmer tout ceci la DSV et son Directeur se voit chargés de créer le plan départemental de gestion des chiens errants de Guadeloupe. Il réclame à chaque réunion que la SPA de la Guadeloupe soit « sur un siège éjectable ». Nous sommes loin d’être en odeur de sainteté.

– Octobre 1997 : Nous avons de nombreux contacts avec la SPA de la Martinique. Le Docteur ROSE ROSETTE en est la Présidente et fait partie de la DSV locale.

Nous avons des échanges très fructueux avec l’OMS en particulier avec l’expert mondial chargé de l’étude de la gestion des populations canines errantes : le Docteur François-Xavier MESLIN. Il est co-auteur avec la World SPA du guide des gestions des populations canines errantes. Nous organisons sa venue sur les 2 îles et les conférences. La notre aura lieu au World Trade Center. Etaient invités toutes les personnalités intéressées par les problèmes que posent les chiens errants : chambre d’Agriculture, mairies, politiques, médias, associations. Il n’y avait pas 30 personnes présentes ! Le docteur Rose Rosette était là, très active et motivée.

– 1998 : La SPA de la Guadeloupe élabore un nouveau projet de « Fourrière Refuge centre de stérilisation de chiens errants !! La SPA de la Guadeloupe travaille avec tous les vétérinaires de la Guadeloupe ils sont présents à chaque réunion. Grâce à nos contacts avec la métropole on leur organise des visites de chatteries et refuges en métropole. Ce projet sera présenté à la DSV, à l’association des Maires, Préfet, Sous Préfet etc… Les vétérinaires de Guadeloupe étaient très partie prenante.

La DSV juge notre projet « pharaonique » et rêve toujours que notre siège soit éjectable au point qu’à une réunion en 2004 Mr le Sous Préfet LELAY dit en colère que le projet « se fera avec Mme ABANE ou personne ».

– En 2004 nous n’avons toujours rien obtenu hormis une « réputation sulfureuse ». Nous lançons une pétition nationale pour la création de refuges et la mise en place des campagnes de stérilisation des chiens errants. Nous avions plus de 4000 signatures recueillies dont la moitié sont Guadeloupéennes. La DSV n’entend pas nos arguments et dit que les campagnes de stérilisation de chiens errants sont impossibles. Nous avons tous les chiffres et détails sur ces campagnes que mène la World SPA sur les îles des Caraïbes indépendantes. C’est un franc succès. Les conclusions de l’OMS et de la World SPA sont précises : seuls 3 facteurs menés de pair permettent la limitation de la population canine errante : –

· L’euthanasie pour les animaux trop vieux ou malades

· Les refuges

· La stérilisation des chiens errants.

Un animal occupe un territoire, vous le supprimez un autre viendra l’occuper. Si vous laissez cet animal stérilisé occuper ce territoire, il chassera les intrus, ne causera aucune nuisance comme les meutes de chiens combattant pour la femelle en période de reproduction.

La grande victoire de la DSV c’est que l’AVPLG (l’Association des Vétérinaires Praticiens Libéraux de la Guadeloupe) a obtenu

1 Million d’€uros de la Région pour la stérilisation des chiens de propriétaires !!!

Rien n’est prévu pour les personnes défavorisées. Le coût d’une ovariectomie sera environ de 80€ au lieu des 260€ et 40€ la castration. Retour de bâton encore et encore quand j’ai parlé sur notre site et la Gazette Guadeloupéenne des Animaux du fonctionnement esclavagiste des administrations à l’égard des associations qui vampirisent travail, temps, énergie pour s’en approprier les bénéfices.

Nous avons travaillé avec un vétérinaire hors pair le Docteur FORMAN, responsable de la protection animale à la DSV. Nous avions fait stopper le trafic des chats élevés en cage à Saint-Martin par des Haïtiens comme viande de consommation. Avec lui nous avons travaillé ave c le centre de soins de la faune sauvage pour tous les cas d’élevage d’iguanes, de racoons, servant à la consommation, idem pour les singes et les tortues.

– 2003 Problème des chiens dangereux et des combats de chiens. Monsieur le Préfet VIAN nous adresse un officier des renseignements généraux pour travailler sur les combats de chiens. Nous avons traqué ces lieux de combat sans succès, ils étaient informés de notre venue à chaque fois.

– 2004 Organisation de la journée Nationale de la Fête des Animaux. La Région nous a octroyé une subvention de 5000€ ; cette journée sera organisée avec Monsieur SOUSSAINTJEAN Directeur de la Fourrière de l’Alliance qui en l’absence de refuge nous réalise depuis plusieurs années des adoptions (jusqu’à 150 par an). Il paye les identifications et pour nous aider il nous restitue les 45€ du coût de l’adoption.

– 2004 Création de la Gazette des animaux de la Guadeloupe trimestriel distribué gratuitement sur toute la Guadeloupe à 20 000 exemplaires. Nous nous chargeons nous même de la distribution. Nous n’avons pas pu aller au-delà du 8ème numéro. La DIREN nous a alloué une subvention de 500€ pour sa mise en place, mais insuffisant vu le coût de production!.

– 2004 Création du site de la SPA de la Guadeloupe www.spa-guadeloupe.org proposant différentes rubriques dont une consacrées aux adoptions et aux animaux perdus.Il a été complètement refait en 2017 et se nomme maintenant  www.spa-gp.org.  

– 2004 modification de nos statuts afin de pouvoir mettre l’accent sur les actes de maltraitance et de cruauté, sur la zoophilie et le braconnage ce aussi bien envers les animaux sauvages que domestiques.

– 2006-2007 Nous avons travaillé avec Monsieur SOUSSAINTJEAN afin d’établir les critères particuliers du chien créole pour la Société Centrale Canine. La SPA de la Guadeloupe a toujours nourri le rêve que le chien créole devienne une race endémique des Petites Antilles au même titre que le labrador, le caniche ou toute autre race. C’est long, très long avant que les choses ne se fassent mais le dossier est déposé le chien créole est menacé par les brassages et il ne faudrait pas que ce chien extraordinaire disparaisse.

– 2008 Avec le chargé de mission de notre confédération visite de la décharge de la Gabarre avec Mr Bénito ESPINAL (notre Monsieur environnement). Travail avec l’équipe en place pour voir comment limiter les meutes de chiens errant qui se sont constituées là. C’est là que nous avons trouvé des chiens créoles magnifiques, en parfaite santé. Le risque c’était les chiens de 1ère et 2ème catégorie impropres à la reproduction ou aux combats de chiens qui étaient abandonnés là parce qu’improductifs. Le risque était les mélanges avec les chiens créoles et les risques d’agression.

La SPA de la Guadeloupe et les autres associations

– Dès 2003 nous sommes en contact avec toutes les associations de protection animale de la Caraïbes. Nous menons une campagne de sensibilisation après l’assassinat de Jane TIPSON Présidente de la SPA de Sainte Lucie pour sa lutte contre les delphinariums et les déchets radio actifs.

Contacts permanents avec la World SPA et l’association PEGASUS ; Nous avons apporté notre soutien et signé des pétitions pour de nombreuses SPA des Caraïbes contre les delphinariums et autres.

– 2004 Une autre association existe en Guadeloupe appelée Ti Racoon. Sa politique est différente de la nôtre elle crée un refuge sauvage (jusqu’à 150 chiens) pour forcer la main aux autorités. Nous avons récupéré pour elle 7 à 8 tonnes de croquettes et nous les lui avons faites livrer à nos frais. Elle a dû faire euthanasier ses chiens, nous l’avons aidé à en placer, seuls 106 chiens ont été euthanasiés.

Le travail de la SPA de la Guadeloupe au quotidien

Depuis la création de l’association (avril 1986) le siège de la SPA de la Guadeloupe est ma maison. Il s’agit d’une maison refuge dans laquelle (voir à la page  » La Maison Refuge)  il y a toujours eu entre 35 à 45 chats et chiens. Souvent ceux qui n’ont pas été plaçables et qui sont restés à demeure jusqu’à leur dernier souffle. Souvent des propriétaires indélicats viennent abandonner leur chien ou chat dans ma résidence en se disant que je les adopterai bien. . J’ai toujours gardé les animaux handicapés trop vieux pour être placés ceux à fourrure noire (ce sont ceux que l’on place le plus difficilement) les orphelins nourris au biberon les 3 pattes, ceux qui n’avaient qu’un œil. Ce que le commun des mortels trouve laids pour moi c’est comme pour les humains la souffrance donne un regard et une âme et la beauté.

– Création d’équipes d’inspecteurs pour lutter contre la maltraitance des animaux.

– Campagnes de sensibilisation pour le respect des lieux de ponte des tortues marines sur la plage de Folle Anse de Marie-Galante ou à Cluny à Sainte-Rose.

Toutes ces campagnes ont porté leurs fruits. Puis nous avons activement coopéré avec le « Réseau Tortues ».

– En 2004 nous gagnons 2 procès (c’est une grande première) pour maltraitance.

– La SPA de la Guadeloupe a eu l’occasion à plusieurs reprises d’envoyer des chiens en métropole à des touristes qui ont eu un coup de cœur pour ces animaux errants. Culpabilisant de les avoir laissé Ils ont souhaité les adopter et nous ont sollicité pour les aider. Nous nous sommes alors occupé de toutes les démarches afin que ces chiens puissent partir et arriver en métropole retrouver leur nouveau maître. Ces adoptants sont devenus des sympathisants, des amis et des soutiens fidèles de la SPA de la Guadeloupe

– Les adoptions grâce au répondeur et au site quand notre ligne fonctionne, en effet nous avons dû quitter l’opérateur que nous avions car nous sommes restées à plusieurs reprises pendant des années avec des coupures de 15 jours (idéal pour pouvoir dire après que la SPA de la Guadeloupe n’existe plus). Depuis mars nous avons un nouvel opérateur mais l’ancien ayant refusé la portabilité nous payons depuis ce jour fin mars 2014, les factures et abonnements aux 2 opérateurs ( l’idéal pour asphyxier une association). Nous avons dû saisir l’ARCEP à ce jour Le 27 Août 2014 grande victoire nous avons notre ligne au 0590 90 12 30 chez notre nouvel opérateur. Nous devons faire d’autres démarches pour obtenir le remboursement des factures en double de téléphone et internet.

– Je ne parle pas de la Boîte postale elle a failli être interrompue car nous étions devenues « SPA de Guada » et naturellement cette association-là n’avait pas payé son renouvellement annuel.

Toutes ces luttes pour exister tout simplement et continuer notre action, notre vie tout simplement sont éreintantes. Mais que nos détracteurs ne se frottent pas si vite les mains. La SPA de la Guadeloupe est toujours là et n’a pas dit son dernier mot. Le bien-être des animaux et la lutte pour leur survie, leur dignité restera toujours notre combat. Comment pourrait-il en être autrement ?

Les difficultés spécifiques à la Guadeloupe en ce qui concerne la protection animale.
Ma maison est une maison refuge depuis 1986. Depuis cette date j’ai en moyenne 30 à 40 chats et 10 à 15 chiens. Ce sont des animaux qui ne peuvent être placés : trop vieux, trop handicapés ( 3 pattes) ou qui ont été élevés très tôt au biberon et dont on ne peut se séparer. On ne place pas non plus ici les animaux au pelage noir. En plus des miens je nourris une trentaine de chiens errants un peu partout en Guadeloupe et 5 chats errants. Naturellement pour ceux-là ce sont les restos du cœur. Une meute de chiens s’est faite dans ma résidence car c’est là que les propriétaires indélicats les abandonnent. Ces chiens ne sont naturellement pas identifiés au nom de la SPAG. Quelle association serait assez folle pour identifier des animaux sauvages non socialisés donc non plaçables !

La Guadeloupe est une île de passage. Beaucoup de Métropolitains viennent pour 3 ans, 5ans. Ils vivent dans des maisons avec jardins, un ou plusieurs chiens leur sont alors utiles. Ils « craquent » pour le premier chiot venu mais lors de leur départ définitif ils ne ramènent jamais leurs petits protégés. Les tarifs aériens son exorbitants sans compter les frais vétérinaires. La Guadeloupe étant indemne de rage aucun animal ici n’est vacciné contre mais au retour il faut l’envisager. S’y ajoute souvent le traitement contre la filariose entre 200 et 300€. Bref ils « préfèrent » les abandonner.

Cette terre de passage a aussi comme résultante des adoptions moins fréquentes. Moins de familles d’accueil or pour nous c’est capital pour réaliser des adoptions. Depuis 15 ans la Fourrière de l’Alliance nous permet de réaliser 150 adoptions annuelles, ils identifient les animaux à leurs frais et nous restituent les 45€ demandés à l’adoptant. Mais avec la crise ces derniers temps nous connaissons une baisse très sensible de cet apport d’argent car beaucoup sont donnés contre bons soins.

Naturellement nous avons moins de bénévoles et moins d’apports financiers pour une association. Ces métropolitains qui viennent pour un temps déterminé continuent de donner à la SPA de leur région d’origine. Ils se dédouanent avec des remarques du genre « les Antillais n’aiment pas les animaux, vous n’arriverez jamais à rien ».

En ce qui concerne la population antillaise il n’y a que depuis quelques années qu’elle a découvert l’existence d’une relation affective avec l’animal. Comme pour toutes les populations aux conditions de vie difficiles, l’animal n’était qu’utile : un chat contre rats et souris, le chien pour la garde. Les fratries étaient élevées 10 à 15 enfants en moyenne, il n’était pas dans les coutumes de faire des legs et des dons importants à la SPA .D’ailleurs nous n’en avons jamais eus. Nos sympathisants les plus généreux habitent tous la Métropole ils sont souvent venus en vacances et ont craqué pour un petit créole ( « nos chiens jaunes » au museau noir ou nos « chats planches » c’est-à-dire ceux qu’on trouve dans les livres d’histoire : les chats Egyptiens).

Nous suivons avec grand enthousiasme et intérêt les recherches scientifiques sur l’intelligence animale (2 ans d’éthologie pendant mes études m’ont sensibilisée à cette connaissance là). L’évolution du regard et de la pratique vétérinaire en Angleterre, en Afrique et en Afrique du Sud, en Australie, en Amérique du Nord et un peu en France (ça commence) fait que les vétérinaires parlent désormais de leurs « patients » et non des bestioles comme je l’ai entendu.. L’aspect affectif et psychologique entre beaucoup en compte dans les soins prodigués (Ouf ! je ne passe plus pour une illuminée ! quoique !!). Nous prenons de plus en plus de contacts avec ces personnes qui correspondent tout à fait avec l’idéologie que nous avons toujours eue sur la protection animale et l’importance des animaux pour nous les humains. La SPA de la Guadeloupe revit ! Enfin des interlocuteurs qui n’entendent pas que ce qui se pèse, se mesure, où se compte mais qui parlent relation, amour, émotion, passion : la vraie vie.

Liste des legs et subventions perçues depuis la création en 1986 de la SPA de la Guadeloupe
– 500€ de 30 Millions d’Amis

– 2004 : subvention de la Région de 5000€ pour la journée des animaux

– 2004 : 500€ de la DIREN pour la Gazette Guadeloupéenne des Animaux

– 2004 : 1500€ de legs d’une adhérente de Métropole restituées par notre confédération puisque seules les associations reconnues d’utilité publique ont le droit de percevoir directement des legs.

Toute association de type loi 1901 est transparente pour tout citoyen, il vous suffit de vous rendre à la sous-préfecture ou préfecture avec le numéro de déclaration. Vous aurez la liste des subventions publiques perçues par cette association. Autrement dit vous l’avez compris la SPA de la Guadeloupe n’a été financée que par l’argent personnel des membres du bureau et les dons et cotisations des bénévoles et sympathisants.

Nous remercions nos partenaires qui nous aident à nourrir nos petits protégés :

– Carrefour Milenis depuis son ouverture en 2000

– SOPRI

– Banque Alimentaire

– Super U Pliane
Nous remercions la SPA d’Armor pour le soutien qu’elle nous a apporté pour que cette maison –refuge existe toujours. Nous donnerons toutes les informations nécessaires concernant l’évolution et le devenir de ce soutien.